Demande de recrutement d'un éni pas si brutal ...

Bonjour à tous, je vous présente ici ma demande de recrutement ainsi que ma présentation :


Le personnage
Pseudo : Brutal-éni (alias Brubru, Bru', Beni pour certains)
Classe : Eniripsa comme mon pseudo le sous-entend
Niveau : 79
Orientation : Bontarien
Metiers : Je suis un petit alchimiste level 36 et bucheron level 27
Ancienne guilde fréquentée : Brave Heart, Ravage, Amakna-Legend

Le joueur IG
Ancienneté : J'ai vraiment commencé Dofus quelques semaines après l'ouverture de Danathor
Anciens serveurs fréquentés : Lily (peu de temps)
Niveau des anciens personnages : 40
Classe des anciens personnages : iop
Orientation des anciens personnages : neutre
Guilde des anciens personnages : Aucune
Vos objectifs : Ce que je souhaite avant tout est de m'amuser sans encombres, de rire et de jouer en groupe
Vos motivations : Je pense être quelqu'un de serviable, souvent prêt à aider les autres membres et je pourrais peut-etre apporter une petit plus dans votre chanel guilde car je suis assez "présent" en guilde.
Pratiquez vous le RP : Pas vraiment

Le joueur IRL :
Age : 17 ans
Disponibilité : tous les soirs ou presque et le week end, pendant la journée et le soir


La guilde :
Pourquoi nous rejoindre : Je voudrais rejoindre cette guilde car à ce qu'on dit, c'est une guilde sérieuse sans "boulets" et c'est ce que je cherche.
Connaissances au sein de la guilde : Je ne connais encore personne dans la guilde
Membres soutenants votre candidature : Aucun
Ce que vous nous apporteriez : Une pointe d'humour (un éni en plus )
Pourquoi pensez vous que nous vous choisirions : Je pense ne pas être un poids en plus pour la guilde mais plutôt, au contraire, apporter mon aide quand vous la jugerez nécessaire.

RP :

Il n'y a pas si longtemps, dans une contrée pas si lointaine que ça, vivait une paisible famille de paysans. Les jeunes eniripsas travaillaient aux champs, comme leur métier l'imposait, en attendant la venue de leur premier enfant qui ne saurait tarder.
Un jour que le soleil se couchait après une dure journée de labeur, la ravissante énie sentit l'heureux évènement approcher. Le mari fou de joie s'empressa d'aller chercher de l'eau chaude et des serviettes pour la venue de l'enfant. Alors que les premiers braillements de leur fils battaient leur plein, ils rentrèrent tous ensemble, bien heureux dans leur maison au toit de chaume.
L'heureux évènement pris, par la suite, des tournures cauchemardesques. Le nouvel arrivant se mit à semer la panique au sein de la vie paisible du couple et ses nombreuses morsures devinrent redoutées. La maman éniripsa dut, maintes fois, pendre le gamin par les pieds pour y faire recracher un bout de table qu'il venait, copieusement, d'arracher et plus jamais la famille ne vécut en paix. Des disputes éclatèrent enter les parents, l'un voulant occire le bambin et l'autre voulant l'abandonner dans la foret, aux prises avec les terribles abraknydes. Bientôt, l'enfant se mit a rôder à quatre pattes dans les rues du hameaux, semant terreur et bagarres avec d'autres énis, moins bien battis bien que plus âgés.
Le conseil du village ne put résister longtemps et l'enfant fut banni du village, à tout jamais. Le grand sage, un éniripsa de haut niveau, le maudit une dernière fois et le chassa dans la foret. Alors que le bambin s'enfonçait dans les bois, il entendit le vieux sage hurler depuis le village : "Tu resteras l'éni le plus brutal que je n'ai vu jusqu'alors !"

Les années passèrent dans la foret, et le petit éni devint grand. Les paroles du vieux sage avait raisonné dans la foret et tous les abras savaient désormais à quoi s'attendre, du tréfonds de leurs ecorces, les vieux arbres se méfiaient de l'enfant qui les martyrisait désormais sans vergogne. Un jour que le jeune éni se baladait au travers des branches en quête d'un ruisseau frais pour son bain, il rencontra un abraknyde plus sombre que la nuit. Le vieil arbre menaçant le dominait de toute sa hauteur mais le fougueux éni n'eut pas peur, il se jeta sur ses vieilles branches, les brisants entre ses mains ou entre ses dents, allant même jusqu'à dévorer ses derniers bourgeons. De l'arbre terrassé, mêlant l'ambre et les racines de l'arbre, il créa une baguette malfaisante, plus sombre que la nuit.
Détenant sa puissante baguette, il terrassa encore plus d'abras qui en vinrent a sortir de la foret, envahissant villages et terrifiant la populace.
Vint alors un puissant feca et son acolyte, un énu très porté sur l'alcool et les femmes, dont la mission était de trouver l'origine de la fuite des arbres et de l'éliminer. Les aventuriers intrépides s'enfoncèrent alors dans la foret, bien vide depuis la fuite des abras, après une dure journée de marche, ils s'installèrent au pied d'un grand chêne pour bivouaquer. Ils firent un feu et se redonnèrent courage avec un peu de bière bien fraiche. Ils s'endormirent bien vite, laissant les dernières flammes s'éteindre doucement. Évidemment, la petite brute était là elle aussi, a épier les aventuriers en attendant qu'ils s'endorment. Lorsque leurs ronflements couvrirent le bruit de ses pas, il s'approcha doucement, la vigilance d'une vie passée dans la foret jouant son rôle. Il commença alors a faire leur sac, chipant une cape de l'aventurier par ci, jetant un gelano par là, lorsqu'il tomba sur quelque chose de bien plus intéressant. Il en avait déja vu et senti il y a bien longtemps alors qu'il vivait avec ses parents. Des hommes portaient des outres comme celle-ci a leur bouche et titubait par la suite, il s'en rappelait. Il prit pris la gourde de bière et la vida d'un trait. Les effets furent immédiats : il tomba, saoul comme un cochon, sur le feca endormi. Celui-ci se reveilla d'un bond et se dégagea du maigre enfant. Son étrange compagnon ronfla jusqu'au levé du jour mais le féca pris soin de l'éni, constatant que l'outre était vide (a son grand regrés). Il mit le jeune sous les couvertures et attendit son réveil.

Quand la brute ouvrit les yeux, elle voulu d'abord s'enfuir puis mordre les bras qui le serraient mais, constatant un mal de tête a tomber par terre, il perdit de sa vigueur et le feca et l'énu le maitrisèrent.
Au bout d'un certain temps (et aprés maintes morsures), l'éni se fit plus calme et le féca voulut en savoir plus pendant que son compagnon vaquait a ses occupations, cueillant champignons aphrodisiaques et hallucinogènes ...
Il ne tira rien de l'éni qui ne connaissait pas le langage des hommes mais le ramena tout de même en ville où il y appris, avec beaucoup de patience, à s'exprimer. Avec beaucoup de temps, et nouvellement nommé Brutal-Eni, les trois compagnons se lancèrent dans de nombreuses quêtes et autres sorties d'entrainement.

Le féca dont la franchise ne fit jamais défaut, l'énu dont le foi travaillait sans relâche et l'éni dont toute trace de brutalité fut estompée firent à jamais équipe et il n'est pas rare de voir le trio se balader dans la foret, terrorisant encore une fois les abraknydes a coup de baguette, de pelle et de baton.

Bonsoir,

Je lance le vote ! *Lance*

Merde j'ai touché quelqu'un ! ><

Bonne chance.

Le PLop,

Ta candidature après avoir été analysée par nos experts en sémantique, a été brulée..euh acceptée!

Contacte un des membres suivants pour ton interview:

/w Filou
/w Tegan
/w Maelstorm
/w Dew-Berry (moins de chance, actuellement en pause carrière)